de moi a ...qui le veut...ou peut...
Une certitude betonne mes pulsions, j'artifice l'iris qui tisse, comme une insuffisance emotionelle qui se veut bulle de vie...je m'autodianalyse et parametre la distance qui me separe de l'autre rive...celle ou dansent les creatures nebuleuses de mes entrailles...
et cette lumiere opaque qui contribue au silence trop vaporeux de ses mains...je tire sur le fil de mes idees et la lecture des mots parenthese mon ressenti...j'ai etouffe un cri, un echo pour ne pas le faire voir...le non averti pourrait ne pas reconnaitre le parfum celullaire...
comme une ecchymose a la place du coeur...je ne veux pas la voir disparaitre sans qu'elle m'ait observee du haut de son emisphere...elle est d'hiver et fait couler mon sang...une etincelle dans les yeux et j'arpente la scene, pour y jouer ma vie...
Je la connais aussi la chanson dont parle Baboun...
Bisous à toi Almerys