Dans ce paradis du ciel et de l'enfer j'ecoute l'ame errante...a bord d'un vaisseau carpedien je transfuge l'aveugle  et delivre les moindres murmures encore emus...

mes yeux se closent a la vitesse du chant sireneen...subjuguee, attiree, aimante et, j'approche mon coeur du fleuve edulcore...electrofusion des peaux, la blancheur se heurte au sable chaud...

il me vampirise et chimere les meandres de mon etre...dans un ultime reflexe je le sang vie et libere son ame...quelques soupçons d'eternel et c'est ici que tout se melodie, dans

le paradis du ciel et de l'enfer...