Assise au pied d'une tour, debout au pied du rideau de vie je controverse la confession de l'illusion...face a la vitrine de feutrine intime je me caresse la paupiere...

j'accentue le couloir de mes idees et me rends ivre de colonnes spirituellement indecises...la logique s'injurge contre mes reactions sans chaine...

initiation erotique de mon coeur et son "e" plonge un peu plus dans l'"o"...

le defunt passif cascade l'emotion de la chair...entre mes tentacules lunaires coule un univers ergien...penitence...j'air dans ce micro climat et trace un point...