Suite aux effets colateraux de l'interface unique, je tournoie la derniere once d'obliquitude...

le saule pleureur de mes angoisses verse des larmes assechees par le metronome de mes pulpositions...

cortexement appelee a rediger des rapports non officiels, la luxure est a pourfendre...

une cigarette en sur-cil et c'est toute une nuee de cyclopes qui m'arrache a cette horde de passe temps...

l'aube est a pieds nus et scande les derniers regrets d'une orchidee a peine nee...

j'investis les ruines des dernieres lueurs et y inscris : ".................." (a vous de me le dire)...