Le chagrin de nos peaux

La douceur de nos reves

Nous ecartent des tombeaux

Et annoncent la treve…

 

Le noir soleil incandescent

La pluie et sa nuit acide

Fendent notre firmament

Et laisse nos esprits vides

 

Ne plus toucher le sol

Et s’envoler vers la destinee

Vers le paradis des hommes

Et son gout d’eternite…

 

Dans les jardins de dieu

Les jardins de baby alone

Nous y serons tellement mieux

Loin de cette terre fantome…

 

En ces contrees nues d’ivresse

Les etoiles comme temoin

S’echanger une promesse

Et jouir du lointain…

 

L’arabesque de nos vies

Les contours de nos ames

Nous accordent un sursis

Et plus rien ne nous comdamne…

 

(un jour mes mots entendront ta musique)