echo de peut etre...
Le chagrin de nos peaux
La douceur de nos reves
Nous ecartent des tombeaux
Et annoncent la treve
Le noir soleil incandescent
La pluie et sa nuit acide
Fendent notre firmament
Et laisse nos esprits vides
Ne plus toucher le sol
Et s’envoler vers la destinee
Vers le paradis des hommes
Et son gout d’eternite
Dans les jardins de dieu
Les jardins de baby alone
Nous y serons tellement mieux
Loin de cette terre fantome
En ces contrees nues d’ivresse
Les etoiles comme temoin
S’echanger une promesse
Et jouir du lointain
L’arabesque de nos vies
Les contours de nos ames
Nous accordent un sursis
Et plus rien ne nous comdamne
(un jour mes mots entendront ta musique)
Thursday 28 December 2006 à 00h49
par almerys
Je t'embrasse aux creux de tes ailes
Le Ptit Prince