J'artere le moindre de mes gestes et m'oppose, m'oppose a toi, la tisseuse au point de croix de mon existence...je blaspheme, je consumme ce qu'il ne reste plus...

je braise des errances et obscene l'utime heure...je peau cede en decalage lunaire...et brule le vent et sonne le temps...

en totale inversion l'opportunite je saisis et les neons de la nuit me suggerent la contre indication...que mes pensees m'occultent...et perds moi encore une fois sans cri, egare...

cette montee aerienne ne fait que re des cendres...je ne parenthese pas que l'absent mais j'exclamme mes desirs et j'exulte en non lieu...