Une bulle de constance est nee sur le parvis...elle tourne en electron libre dans la moiteur de la vie...elle effleure les moindres petites accalmies...elle me suggere et alors je la suis...

mais il est des vertiges indigo, ou l'errance blapharde d'une existence reproduit les memes imperfections oubliees...

j'enchaine les blanches nuits...je retouche l'artificiel du paradis...je contraste cette mise sous pli...j'analyse et releve les defis...distension de l'intemporel infini...

et au travers des meurtrieres aveugles je dissimule une ligne discontinue qui relie l'envie a l'ennui, mais je comdamne les mecreants vampiriques qui saigneraient trop tot une lueur d'espoir...

parce que dans mon univers les lettres s'assemblent sans deranger mais parchoquent les idees intrasensorielles de l'etre qui se penche dessus...

toi qui t'egares dans l'antre de ma folie...absorbe "mon et moi" et laisse tes impressions s'enchainer a tes mots...