ce que je ressens...

hé mon ange! pas trop éternel le repos, d'accord? t'inquiète pas, la créature étrange qui vient chercher les rêves que les enfants mettent sous leur oreiller s'appelle la petite souris. Les rêves partent avec les dents de lait. Enfin je crois...Ce qu'il y a de bien avec l'incertitude, c'est que le pire n'est jamais sûr.

je te fais des baisers pleins de plumes, ma belle ange...

ma ptite fee, ne t'inquiete pas il ne sera pas trop "eternel" enfin j'essayerai...mais ta derniere phrase sur l'incertitude me rassure...
merci ma ptite fee et plein de baisers a toi

Quand d?austères lumières s?accrochent aux paupières
et s?en vont par delà tous ces chemins pliés
Quand d?étranges cochers voyagent en hiver
et saisissent bien sur ces étranges clartés


Clartés

J'aime beaucoup ce qu'à écrit la fée violette,
ta réponse me rasssure
Tu es fatiguée car les voyages vers nous même sont épuisants
Prends du repos quand cela est possible
Bises

Tu ne joues plus apparemment, je ne te vois pas t'amuser avec les mots, pas de plaisir dans ce texte ce qui y crée une atmosphère des plus tristes.
Ecrits avec les larmes du coeur peut-être, je n'en sais rien...
Ecrit face à toi même c'est certain...
J'aime cette humaine incertaine, elle a peur mais elle vivra...enfin j'espère...que cette fatigue ne fera pas pleurer tes veines...

Repose toi bien...


Boudi.

"clartes"...tellement ça, je serai curieuse de connaitre ce poeme en entier si c'est un poeme bien sur...

*ma miss : j'essaye de prendre du repos mais meme epuisee le sommeil ne vient pas a moi...la nuit endormie continue de m'angoisser...bisous doux a toi...

boudi, tu as pu constater que dans ma derniere note j'avais force les mots...je n'aime pas cette façon de faire alors je vais les laisser revenir a moi...oui cette note est triste...mais elle me reflete...juste une tristesse physique...je veux etre forte, je m'y emploie...
merci a toi...
je t'embrasse

on passe tous par là malheureusement, je le suis aussi fatigué, mes doutes et mes peurs reprennent le dessus comme toi, tristesse angoisse et mélencolie de cette vie parfois si injuste, mais elle est ce qu'elle est, alors repose toi, repart dans ton jardin si doux et appaissant et si tu le veux je viendrai m'y reposser avec toi, avec en sus un petit massage réparateur, bisous très doux

poses ta tete contre moi...repose toi je te tiens la main...ne t'en fais pas!!!

je pose ma tete sur toi ptit coeur...je sais que tu seras toujours là...

Hold on girl
Girl hold on
You gonna see the light
You gonna win the fight

Courage camarade!

merci "gris" pour ton passage....j'aime le gris...entre ombre et lumiere....

ok compris bonne nuit

Bonne nuit ma grande soeur... repose toi bien, ton esprit et ton corps... Je t'envoie tout plein de gros bisoux, virtuels mais bien réels...

*douce nuit bowen

*chtite soeur : je ne travaille pas demain alors oui je vais pouvoir me reposer...merci pour tes bisous et je te les renvoie!

merci mais je n'y arrive pas

c'est un repère de névrosés u-blog, ou plutôt d'insomniaques et moi le premier :/

insomniaque oui c'est tout a fait ça!!alors marchons jusqu'a epuisement dans les dedales de cette opaque ambiance...

j'attendrais comme toujours le jour pour m'endormir...je suis conditionné de cette manière la nuit me fait peur quand mes paupières s'abaissent, la nuit m'attire quand j'erre en elle.
Commentaire d'un adolescent happé par l'engrenage infernal de la nuit sans rémission possible...
Assoifé d'aurore...

des dedales à multiples facettes, quand on voit la sorti c'est que l'on en est loin

adulescente je resterai..., je sauterai bien dans les flaques lunaires histoire d'eclabousser d'ombres rousses ce sommeil qui se fait desirer, attendre!

alors prend de l'élan et eclabousse à en perdre halaine

Je ne pense pas que almerys soit ta camarade, gris.
Ou alors c'est que tout lui est vraiment devenu indifferent.
J'aime bien ce que tu fais alm.
Ne baisse pas les bras,tu peux trouver une issue.

douce fin de nuit

bisous

douce nuit à tous.

repose toi ma douce...

la vie n'apporte rien que des désagréments aux gens fatigués...

bisous

reposes toi ma belle est tt ira mieux apres tu verras..desfois il est reparateur le sommeil...aujourd'hui aussi je sens que j'ai tomber pas tard, comme hier je n'ai pas arreter...bisoussssssss ma belle ame et je suis la si le besoin se fais sentir.....

Quand d?austères lumières s?accrochent aux paupières
et s?en vont par delà tous ces chemins pliés
Quand d?étranges cochers voyagent en hiver
et saisissent bien sur ces étranges clartés

Quand le froid a surpris les chiens et les traîneaux
la douleur dans les reins s?imprègne du fracas
quand l?effort avait faim et suait le manteau
le maître sanguinaire les frappe de ses bras

Et le vent et la neige insolents d?embarras
l?enferme dans l?auberge où transpire l?effroi
les raideurs de son corps tout à coup le trahissent
une servante alourdie dépoussière le christ

Le voyage continue opaque et sensuel
mais tout reste embrouillé de cochers irréels
car la halte promise sur ce chemin perdu
n?était qu?une sottise pour un âne têtu



1980


Reflets

Cheveux bouclés d?azur qui penche
La rondeur extraordinaire de ton corps.
Visions d?étranges vagabondages qui me creuse.

Qu?il est souhaitable ce temps présent où délivré
De toute identification, l?errance posthume

Me hante.

J?aime parler pour ne rien dire.
Sombrer la nonchalance de l?automne.

Fixer l?essence de l?esprit.

Ce qui décide, au soir plus que demain
D?avoir de vastes escapades glorieuses,
Ces fleurs de mimosa creusées dans l?argile
Et ces moteurs sans voix qui tournent - au matin

Vraiment du café ouvert
Jusqu?après minuit,

L?âpre solitude d?être aimé
ronge l?existence des yeux.



1983

reflets

Merci à tous


« Monsieur Hector s?interroge sur l?atome
Et les trajectoires de l?univers
L?automne, cendrillon des nostalgies
Coule en ses veines un serpent d?eau
Et son humeur, langueur d?amertume
Lance en retour un amical bonjour.
Adèle trouve sur la table un parapluie,
Miroir d?ombres ruisselantes
Qu?elle accroche aux cordes du piano.
Robert arrive par les marches du couloir,
Essuie d?un geste souple et nerveux
Le code imprimé sur l?écran.
Depuis quelque jours, d?hier à aujourd?hui
A l?heure joyeuse du bal costumé
Le masque trahissait la puissance de l?âme.
Rien n?est vain mais tout est inutile.

A croire l?intensité proverbiale
Du peu et la désespérance
Des cristaux de charbon. »



1986

Georges A.