pour toujours demain...
Comme une histoire aveugle et à peine née
Que déjà les nécrophages veulent l’avorter
Dehors le bitume éclate les violons de l’hiver
Tu mœurs et respires de long en travers…
Encore le même bruit qui fend la blanche nuit
Des néons blafards qui pleurent, crient et puis
Cette invasion de leurres qui girofarent
Ce que tu ne suicideras jamais d’espoir….
Tout reste sous tension oblique et invariable
C’est au bout d’une corde que tu restes viable
L’amertume de nos corps jonchée d’oubli
Nous extrait jusqu’à l’os de nos possibles vies…
Sunday 07 September 2008 à 22h42
par almerys
nuit blanche pour partager
bise